Sa grande inquiétude était de savoir si réellement il avait assistè à la bataille et dans le cas du oui, s’il pouvait dire s’etre battu, lui, qui n’avait marchè à l’attaque d’aucune batterie ni d’aucune colonne ennemie

(Stendhal, La Chartreuse de Parme)

Questa voce è stata pubblicata in Senza categoria. Contrassegna il permalink.